Il s’agit à la fois d’un cercle de réflexion, d’expertise et d’échanges sur les questions de confiance et de sécurité numériques, avec un double objectif : être un vecteur de diffusion de la culture de sécurité numérique, et se positionner comme l’interlocuteur privilégié des acteurs publics et privés sur ce sujet, poursuit la même source.
Cité par le communiqué, le président de MorTrust, Karim Hamdaoui, explique que l’association a pour mission de représenter la profession de la cybersécurité et de la confiance numérique, d’en faire valoir le rôle, et de démontrer son importance et reconnaissance à l’échelle nationale et internationale.
Dans sa vision, MorTrust entend aussi connecter les startups marocaines les plus innovantes et les plus prometteuses en cybersécurité au marché mondial et se veut un carrefour pour la promotion des opportunités d’affaires dans le domaine, précise la même source.
Le communiqué indique par ailleurs qu’« on assiste aujourd’hui à une prise de conscience de plus en plus forte autour de l’indépendance et la souveraineté numérique à la fois dans le secteur privé et public ».
Dans ce sens, rappelle la même source, l’arsenal juridique a été renforcé au Maroc par l’adoption de la loi 05-20 relative à la cybersécurité dont le décret a été publié en 2021 et qui vise à mettre en place un cadre juridique permettant de renforcer la sécurité et la résilience des systèmes d’information des administrations de l’Etat, des collectivités territoriales, des établissements et entreprises publics et de toute autre personne morale de droit public de l’Etat, ainsi que des infrastructures d’importance vitale disposant des systèmes d’information sensibles.
(Avec MAP)