Selon Alyaoum24, des députés de l’opposition ont critiqué la tenue de la réunion en l’absence de toute décision préalable du bureau de la commission, responsable de l’organisation des rencontres.

Le député Saïd Baaziz a affirmé que la réunion avait été reportée après le Ramadan, conformément aux accords du bureau de la commission.

Cependant, des dissensions sont apparues quant à la légitimité de la convocation de la réunion, certains soulignant le droit du président de la commission à convoquer, tandis que d’autres insistaient sur la nécessité du bureau de la commission pour programmer.

Face à la controverse, le ministre de la Justice a décidé de se retirer des travaux des commissions jusqu’à ce que la question soit résolue.

Le président de la commission a soutenu que la réunion était légale, mais a été contredit par un autre membre du bureau, contestant l’absence de réunion préalable du bureau pour autoriser la rencontre.

Des menaces de divulguer des discussions privées ont été proférées, entraînant le retrait de certains membres de la réunion.

Il est apparu clairement que les divergences sur les procédures internes de la commission étaient au cœur du débat, mettant en lumière des tensions quant à l’interprétation et à l’application des règles régissant les activités parlementaires.