Comme l’exigent l’usage et la bienséance, Zakaria Boualem voudrait commencer cette nouvelle année en présentant ses voeux à la planète, qui s’en fout un peu. Elle en a pourtant bien besoin, la pauvre. On n’aurait jamais pensé pareille horreur, mais il semble qu’il règne actuellement un sinistre parfum de fin du monde, telle est la triste vérité. Le conflit ukrainien s’enlise, comme c’était malheureusement prévisible, il a ainsi rejoint les fins de journaux télévisés, l’étape suivante – imposée par la lassitude– étant l’oubli pur et simple. Qui est aujourd’hui capable…