La semaine dernière, le Boualem s’est rendu à la gare Casa Port avec la noble ambition d’y prendre un train pour Rabat. L’apparente banalité de ce projet, dénué de toute difficulté technologique majeure, lui semblait alors une garantie suffisante de succès. Hélas, le voilà, quelques jours plus tard, à geindre sur cette expérience épouvantable, c’est un peu triste. Tout a commencé dès qu’il a mis les pieds dans la gare. Frappé par la masse de gens qui grognaient, dans toutes les langues et à pleins poumons, il s’est dit, le…