La guerre s’enlise. C’est un fait. Ceux qui avaient espéré un dénouement rapide du conflit en sont pour leurs frais. Deux camps au sein même de l’Occident émergent. Celui des Anglo-saxons, Américains et Anglais, qui, maximalistes, souhaitent la défaite de Poutine, et continueront à fournir Kiev en matériel militaire et financements à cet effet. Et ceux, dont la France d’Emmanuel Macron, qui encouragent une sorte d’“apaisement”, quand bien même passerait-il par des concessions ukrainiennes importantes. La Russie, après un passage à vide, se rebiffe sur le théâtre des opérations. L’objectif…