Les élections sont passées, hamdoullah, et la planète ébahie a pu apprécier notre maturité politique due à une pratique quotidienne et sereine de la démocratie. Zakaria Boualem, comme toujours, a eu le plus grand mal à analyser les résultats. Il faut dire qu’il part de loin, le bougre: imaginez un peu qu’il est incapable, par exemple, de définir les opinions politiques de la plupart de nos partis. Le fait est qu’il est nul, voilà, mais il a l’avantage de le savoir. Donc, il s’est tourné vers la presse pour comprendre…