(Cet article a initialement été publié le 6 septembre 2014)
C’est dans sa résidence secondaire de Bouznika que Ali Najab nous reçoit. Barbe blanche soigneusement taillée, chemise et jeans…
Avec un quart de siècle passé dans les camps de Tindouf, il est le plus célèbre des prisonniers de guerre marocains. Libéré en 2003, il est décédé ce mardi 26 novembre à l'âge de 81 ans. Il y a dix ans, TelQuel dressait le portrait de celui qui n'avait alors pas lâché son combat pour la dignité de ses anciens compagnons d’infortune.
C’est dans sa résidence secondaire de Bouznika que Ali Najab nous reçoit. Barbe blanche soigneusement taillée, chemise et jeans…
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Nous devrions élever un monument en l’honneur de nos martyr. Un monument sur lequel les noms de tous ceux morts pour la patrie dans les camps Algeriens.
Le Maroc devrait aussi exiger le retour des dépouilles de ses hommes morts en détention dans les camps algériens
RESPECT A MR NAJAB.
La guerre civile algerienne qui a duré 15 ans et orchestrée par ces memes généraux algeriens n’a pas tardé