Tout a commencé après que le ministre de la Justice a lancé : « Mon fils a obtenu deux licences à Montréal. Son père est un homme riche qui a pu financer ses études à l’étranger », en réponse à une question sur les soupçons d’entente entre la tutelle et l’Association des barreaux du Maroc (ABAM), lors du dernier examen d’accès au barreau, qui s’est tenu le 4 décembre dernier. Depuis, une campagne internet fait rage demandant la démission de Ouahbi, sur fond de rumeurs au sujet de son limogeage.
Le ministre, lors d’un passage sur 2M le 8 janvier dernier, a réaffirmé son maintien en poste, tout en minimisant la portée de l’affaire qu’il décrit comme un « petit tourbillon ». Retour sur cette affaire et d’autres polémiques ayant marqué les débuts de Ouahbi au gouvernement.
