Ce n’est plus un bruit qui court. C’est une onde de choc à l’échelle nationale. Depuis fin décembre, les témoignages d’étudiantes relatant des faits de harcèlement sexuel se succèdent et se ressemblent. Sur les ondes radio, sur les réseaux sociaux, mais aussi dans les colonnes de ce magazine.
Désormais, la parole se libère. Mais des interrogations subsistent. Pourquoi a-t-il fallu attendre aussi longtemps pour que la honte commence à changer de camp ? De prime…“Dans un pays où la hogra est systémique, difficile de dénoncer un supérieur”