Zakaria Boualem respire enfin. Nous sommes finalement sortis de notre confinement, les amis. Avec, bien sûr, les mêmes chiffres qu’il y a un mois, les mêmes incertitudes, comme prévu. La dernière prolongation de peine a suscité tellement de protestations sur les réseaux sociaux qu’il n’était plus possible de continuer. Nous étions englués dans un absurde profond, unique de par le monde, qu’il est inutile de décrire une nouvelle fois tellement il a été pénible à vivre. La nouvelle situation est meilleure, mais, comme d’habitude, tout aussi floue. On peut aller…