Avant d’entamer la lecture de cette chronique, sachez qu’elle a été écrite sous antidépresseurs. Il était en effet inconcevable de laisser Zakaria Boualem s’exprimer à l’air libre sans un garde-fou médicamenteux, ses propos l’auraient sans doute mené à vive allure vers un confinement de type carcéral. Nous avons vécu…