Il aurait été difficile de ne pas sourire quand Mezouar, improvisant son discours de victoire, se rebaptisait ainsi : “Nous, le secteur privé…”. L’ancien ministre des Affaires étrangères, de l’Industrie, mais aussi de l’Economie et des Finances, et ex-chef de file du RNI n’a pas dit grand-chose de mémorable ce fameux mardi 22 mai, lorsqu’il a été adoubé à la tête du patronat. Quelques larmes d’un fils rendant hommage à sa maman, et un “vive la démocratie” pour compléter le “vive le Maroc et vive la CGEM” de Miriem Bensalah, en clôture d’une assemblée…