Ouzzine a rappelé que le gouvernement devait garantir le droit à la liberté d’expression et de manifestation pour tous les citoyens. Il demande des explications sur la dissolution des bureaux des étudiants en médecine et critique la disparité de traitement entre les enseignants et les étudiants dans l’exercice de ces droits fondamentaux.
Selon Alyaoum24, le Mouvement populaire prévoit ainsi d’organiser une conférence impliquant les ministres de l’Enseignement supérieur et de la Santé afin de trouver des solutions aux revendications des étudiants. Cette médiation est vue comme une étape cruciale pour résoudre les tensions et éviter toute instrumentalisation politique de la situation.
Ouzzine insiste sur la nécessité de trouver des solutions sans compromettre la qualité de la formation des étudiants en médecine, tout en cherchant à endiguer l’émigration croissante des professionnels de santé.
Il critique également le gouvernement pour son manque de volonté politique à résoudre la crise dans les facultés de médecine, soulignant l’absence de mesures efficaces pour empêcher la fuite des médecins marocains. Ouzzine propose des alternatives telles que la signature d’engagements préalables des étudiants pour dissuader les départs à l’étranger.
En conclusion, il appelle à une approche plus inclusive et efficace pour résoudre les tensions dans les facultés de médecine, mettant en avant la nécessité de respecter les droits des étudiants tout en garantissant la qualité de l’enseignement médical au Maroc.
