Bienvenue, les amis, c’est un Zakaria Boualem exténué qui vous accueille à l’extrémité de cet estimable magazine. Assommé par les frais de la rentrée scolaire, accablé par la hausse des prix, livré tout nu à la grande machine capitaliste qui, chez nous, tourne à plein régime. Il est tellement angoissé, le bougre, qu’il s’inquiète même pour le sort de l’humanité. Nous vivons une période où tout ce que nous pensions impensable se dessine sous nos yeux possible. Une guerre en Europe, par exemple, un embrasement général, ce truc vintage qui…