Il n’y aura ni plafonnement des prix à la pompe, ni subvention, ni ristourne accordée par l’Etat. Les Marocains n’ont que leurs yeux pour pleurer. Depuis l’éclatement du conflit en Ukraine, passer devant un totem de station-service provoque des sueurs froides. L’ascension des tarifs des carburants paraît n’avoir aucune limite. Et, grande première, le gasoil, “le fuel du pauvre”, a supplanté le sans-plomb. Les deux carburants, au moment de l’écriture de ces lignes, dépassent les 14 dirhams le litre. Si les origines de cette montée en flèche des tarifs sont…