Le secrétaire général du PPS prévoit un faible taux de participation aux prochaines élections, dont la date n’est d’ailleurs pas encore connue. Dans cet entretien, il revient sur le départ de sa formation du gouvernement El Othmani, et tire à boulets rouges sur ses anciens camarades de la majorité.
De 1998 à 2019, le Parti du progrès et du socialisme (PPS) a successivement géré plusieurs portefeuilles ministériels. Les leçons politiques à retenir de ces expériences cumulées sont nombreuses. Loin de se fixer sur le passé, Nabil Benabdallah préfère davantage se…
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