Il y a 50 ans, le Maroc a fait le choix de soutenir financièrement la résistance palestinienne. L’un des moyens d’y parvenir s’est fait grâce à une taxe imposée sur chaque paquet de cigarettes vendu au Maroc et sur les billets de cinéma et de théâtre. La décision était celle de Hassan II, et n’a jamais été rediscutée depuis. Il pourrait être légitime de questionner ce choix aujourd’hui, vu l’évolution de la situation au Proche-Orient, vu les bouleversements profonds déchirant Hamas et Fatah, et, disons-le franchement, vu les intérêts du…