Salut à vous les amis. Nous voici installés en ce mois de septembre paisible, sans pression particulière, voguant avec sérénité vers les lumières de la modernité et apaisés par le redémarrage de la Ligue des Champions. Tel est l’état d’esprit de Zakaria Boualem au moment où il vous parle. Certes, il n’est pas contestable qu’une poignée de difficultés prennent un malin plaisir à se dresser devant nous, mais il faudrait être un nihiliste obtus pour en faire grand cas. Il y a par exemple ce modèle économique, dont on nous dit…