Murcie et Gijón ont été écartées de la sélection finale, n’ayant pas réussi à répondre aux critères stricts de la FIFA. Valence et Vigo bénéficient d’une prolongation jusqu’à vendredi pour soumettre des projets conformes, mais il semble peu probable que les stades Mestalla et Balaídos réussissent à remplir les conditions requises.
Le vendredi 17 juillet, une réunion décisive se tiendra à Agadir pour désigner les 20 villes hôtes : 11 en Espagne, 3 au Portugal (stades Da Luz, José Alvalade et Do Dragão) et 6 au Maroc.
Les villes espagnoles confirmées jusqu’à présent incluent des stades emblématiques comme le Camp Nou, le Stage Front Stadium de l’Espanyol, San Mamés, la Reale Arena, le Santiago Bernabéu, La Cartuja (en cours de rénovation), le Metropolitano, La Romareda, La Rosaleda, Gran Canaria et Riazor. En revanche, Nueva Condomina et El Molinón ne feront pas partie de la sélection finale, et Mestalla et Balaídos sont sur le point d’être écartés également.
La FIFA procédera à une évaluation détaillée des propositions avant de statuer sur les villes retenues. La décision finale sera prise lors d’un congrès extraordinaire en décembre. Cette fois-ci, l’Espagne, le Maroc et le Portugal n’ont pas de concurrence directe, l’Arabie Saoudite ayant accepté d’organiser la Coupe du Monde 2034.
Pour être choisie comme ville hôte, chaque candidature doit répondre à des critères économiques, politiques et sportifs rigoureux. Les principaux obstacles rencontrés par certaines villes sont d’ordre économique, notamment en ce qui concerne les investissements nécessaires pour moderniser les infrastructures et les moyens de transport.