C’est un Zakaria Boualem abattu qui s’adresse à vous aujourd’hui. Il a perdu son idole, le génial argentin, et il ne s’en remet pas. Ne comptez pas sur lui pour venir expliquer aujourd’hui pourquoi cette disparition le bouleverse, il lui faudrait un journal entier. Il a aussi admis depuis longtemps que ceux qui sont capables de comprendre son état ont déjà compris, tandis que les autres n’y arriveront jamais. Donc, c’est inutile, et merci. Par contre, il voudrait bien vous raconter ce qui est arrivé à un de ses amis,…