Zakaria Boualem est très confus, les amis. Il a le plus grand mal à comprendre ce qu’il doit faire à l’occasion de l’Aïd le grand. Il a été “exhorté”, tel est le mot utilisé dans les articles de la MAP, à ne voyager qu’en cas “d’extrême nécessité”. Mais est-ce que le fait d’aller faire des bisous à sa famille et de manger goulûment des moutons est une “extrême nécessité” ? “Autrement dit, on compte sur le Boualem pour remplir les hôtels,…