Il y a vingt-trois ans, à Rabat, la cinémathèque marocaine ouvrait ses portes au public. On annonçait en grande pompe d’ambitieuses missions: conserver le patrimoine national, acquérir des films de l’héritage cinématographique mondial, programmer des projections, préserver les archives visuelles et sonores liées au cinéma, créer une bibliothèque cinématographique, et bien d’autres belles choses. Une Fata Morgana dans…