Les choses sont allées très vite, ça a été spectaculaire. Il a suffi que Zakaria Boualem oublie de se connecter quelques jours pour découvrir, à son retour, un mouvement de boycott particulièrement flamboyant. Vous connaissez l’histoire, il est inutile de la rappeler. Ou plutôt si : il faut consigner tout ce qui se passe ici même. C’est important, puisque nous passons à vive allure d’une polémique à l’autre au risque de tout mélanger, de tout confondre dans un grand brouhaha numérique permanent où Ban Ki-moon côtoie Nabil Ayouch, et où le…