Selon Hespress, la nouvelle directive stipule que les enseignants intéressés peuvent obtenir une autorisation préliminaire à la fin du mois de juin de chaque année académique, et une autorisation définitive avant la fin du mois de septembre.
Cette mesure donne la possibilité aux enseignants de travailler en dehors de leur établissement d’origine, y compris dans plusieurs écoles privées, sans dépasser le quota hebdomadaire fixé à huit heures.
Les enseignants peuvent également exercer dans des établissements privés hors de leur académie régionale après avoir reçu l’approbation des services centraux, notamment ceux qui travaillent dans les classes préparatoires des instituts et écoles supérieures, et dans les classes préparatoires aux diplômes de technicien supérieur.
La direction de chaque école privée, en collaboration avec les autorités éducatives régionales, est chargée de soumettre mensuellement une liste des enseignants autorisés à exercer ces heures supplémentaires. Ces démarches sont supervisées pour s’assurer qu’elles respectent les normes établies et pour maintenir l’équilibre entre les besoins éducatifs et les capacités des enseignants.
La direction provinciale est chargée d’étudier les demandes, sur la base de critères incluant l’avis du directeur de l’établissement d’enseignement public et le respect du nombre d’heures autorisées, qui ne doit pas dépasser huit heures par semaine pour chaque enseignant.