La source précise que si certaines revendications des étudiants ont été prises en compte, le ministère restera inflexible sur des points tels que la modification des programmes d’études ou la durée du cursus, fixée désormais à 6 ans au lieu de 7. L’augmentation de 20 % du nombre d’étudiants en médecine a également été un sujet de friction.
Malgré les grèves, qui durent depuis plusieurs mois et ont perturbé les examens du premier semestre, le ministère exclut l’idée d’une année académique blanche. Les étudiants en médecine dentaire et la majorité des étudiants en pharmacie ont déjà repris les cours.
Les protestations étudiantes se concentrent sur la réduction de la durée des études et sur l’augmentation du quota d’admissions en médecine, en plus de critiquer la diminution du taux d’encadrement. Le ministère critique également les tactiques d’intimidation employées par certains manifestants pour inciter leurs pairs à se joindre aux grèves, notamment à travers les réseaux sociaux.