Si l’attribution de la présidence du groupe d’amitié France-Maroc au parti d’extrême droite Rassemblement national (RN) a suscité “l’effarement” de la gauche française qui le dirigeait, au Maroc, la nouvelle n’a pas fait beaucoup de bruit. Pour Omar Anane, président du groupe équivalent à la Chambre des représentants, l’essentiel, c’est de démarrer le travail.
La nouvelle était prévisible. Elle est tombée le 13 janvier dernier. Après plusieurs semaines de débats et de négociations, la présidence du groupe d’amitié France-Maroc à l’Assemblée nationale, l’une des plus convoitées de l’hémicycle, a été attribuée…
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