Chafik Chraïbi, professeur de gynécologie obstétrique et militant pour la lutte contre les avortements clandestins, lance une campagne de sensibilisation autour de la pilule du lendemain, que seuls 10% des Marocains connaîtraient. Il revient pour TelQuel sur le drame des avortements clandestins et la nécessité d’une prévention plus poussée, notamment auprès des jeunes. Entretien.
TelQuel : Comment se déroulent les quelque 800 avortements clandestins qui ont lieu tous les jours au Maroc ?
Chafik Chraïbi : Les avortements se déroulent en cabinet médical, pas en clinique ou bloc opératoire. Donc pas par un médecin anesthésiste,…
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