Le Maroc est en chantier. L’expression relève peut-être du cliché, mais elle rend compte d’une réalité tangible. Partout des projets attendent de sortir de terre. L’ambition du roi de booster l’investissement privé à 550 milliards de dirhams en 2026, le Plan national de l’eau, doté de 41 milliards de dirhams, émergent comme les deux pôles d’une révision drastique de notre modèle économique. Si la vision dont s’est dotée le Maroc est louable, elle n’en reste pas moins tributaire d’une donnée clef, mais trop souvent tue : l’énergie. Une énergie disponible,…