La semaine a été chargée, les amis. Zakaria Boualem a suivi, comme vous, pendu à son téléphone, la tragédie du jeune Rayan, allah y rahmo. Il a vibré, espéré, angoissé, avant de se trouver terrassé par l’abattement, il a absorbé un cocktail émotionnel puissant, qui l’a un peu sonné. Plusieurs jours après les faits, le Guercifi ne veut en retenir que le positif, telle est son attitude aujourd’hui. Et la chose la plus remarquable qui lui reste en tête, c’est que les Marocains ont été à l’honneur, ce n’est pas…