Liberté de la presse : cet “Infiraj” dont le Maroc a besoin

Par Réda Dalil

L’ex-rédacteur en chef du défunt quotidien arabophone Akhbar Al Yaoum, le journaliste Soulaimane Raissouni, en détention préventive pendant un procès-fleuve, a été condamné à cinq ans de prison ferme pour “agression sexuelle”. Le journaliste et militant des droits de l’homme Omar Radi est, lui, toujours jugé pour “viol” et “atteinte à la sûreté de l’Etat”. En tant que journalistes, nous oscillons entre un premier réflexe de solidarité sans ambiguïté avec des confrères et l’objectivité nécessaire à une analyse honnête. Dans ce type d’affaires, présomption d’innocence et respect des présumées…

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