Fin novembre 2010, Casablanca coulait déjà. Dix ans plus tard, force est de constater qu’aucun enseignement n’a été tiré. Ni par les autorités de la ville, ni par la société de gestion, la Lydec. Les sinistrés, eux, en sont toujours au même point. Comment, en dix ans, n’a-t-on pas pu anticiper les conséquences des inondations qui ont touché la métropole début janvier ? Loin d’assumer sa responsabilité, le conseil de la ville affirme, dans un communiqué publié le 12 janvier, que leur action a permis “d’éviter le pire”. Un déni de…