Une guerre fantôme, qui ne possède ni nom ni visage, et qui continue de planer sur les personnages, même lorsqu’ils se retrouvent de l’autre côté de l’océan, loin des coups de feu et des bombardements incessants. Une fois réfugiés, la guerre vit encore…
Soutenez un média indépendant et exigeant
- Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
- Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
- Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ?
Se connecter