La multiplication des arrestations pour des publications sur les réseaux sociaux interpelle sur les limites de la liberté d’expression dans le monde “virtuel”. Sommes-nous réellement libres de tout écrire sur nos “murs” ? Le point de vue du ministre de la Justice, Mohamed Benabdelkader.
La fin d’année 2019 a connu un grand nombre d’arrestations, inculpations et condamnations de journalistes, militants ou simples citoyens ayant partagé une opinion sur les réseaux sociaux – parfois de manière insultante, donc répréhensible par la loi.
De
Omar Radi à Moul L7anout en passant par…
Soutenez un média indépendant et exigeant
- Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
- Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
- Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ?
Se connecter