Lors du procès en première instance des détenus du Hirak à Casablanca – communément appelé “le groupe des 54”, dont le leader du mouvement, Nasser Zafzafi -, le Parquet a usé des procès-verbaux des interrogatoires de la BNPJ, d’écoutes téléphoniques, mais aussi de l’activité des détenus sur les réseaux sociaux. Bon nombre d’entre eux ont été appelés à la barre…