Procès du Hirak: quand un “like” pouvait conduire en prison

Facebook était au cœur du procès des 54 détenus du Hirak à Casablanca. Publications, mentions “j’aime” et partages ont constitué des pièces à charge contre Nasser Zafzafi et ses compagnons.

Par et

Image d'illustration issue d'une précédente couverture de TelQuel. © TelQuel Crédit: Telquel

Lors du procès en première instance des détenus du Hirak à Casablanca – communément appelé “le groupe des 54”, dont le leader du mouvement, Nasser Zafzafi -, le Parquet a usé des procès-verbaux des interrogatoires de la BNPJ, d’écoutes téléphoniques, mais aussi de l’activité des détenus sur les réseaux sociaux. Bon nombre d’entre eux ont été appelés à la barre…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter