Dure année pour la liberté d’expression au Maroc. L’année 2019 – et la décennie – vient de s’achever sur une bien triste note, celle d’arrestations, d’inculpations et de condamnations de militants ou de simples citoyens ayant déclaré une opinion sur les réseaux sociaux, certaines explicitement insultantes – et donc répréhensibles par la loi – d’autres moins. Dans le Maroc d’aujourd’hui, un live sur Facebook, une publication de quatre mots reprenant les…