Smyet bak ?
Si Tahar.
Smyet mok ?
Fatima.
Nimirou d’la carte ?
Ça commence par M… Les chiffres, je préfère les garder pour moi.
La réforme du Code pénal traîne depuis des années dans les arcanes du parlement. N’êtes-vous pas lassée par le manège des reports relatifs à ce projet de loi?
Le facteur temps est incontournable au sein du parlement. On ne peut pas changer une loi d’une telle importance à la va-vite. Il va falloir s’armer de patience, car le processus risque d’être long. Lorsqu’on voit qu’au sein même de la majorité, il y a des divergences, c’est tout à fait normal qu’il y ait des hésitations à passer à l’étape du vote. Après, l’adoption des textes est une chose, leur application en est une autre.
Cette réforme a fait couler beaucoup d’encre, mais n’avez-vous pas l’impression qu’elle pourrait accoucher d’une souris?
Non, je ne dirais pas cela. Le travail législatif est en cours. L’actuel Code pénal date des années 1960 et cette réforme est susceptible de désenclaver certaines questions cruciales, comme…