La nouvelle est tombée sur la tête de Zakaria Boualem un peu comme un but contre son camp à la 92e minute de jeu. On sait que c’est possible, on s’y attend même un peu, mais ça fait quand même mal quand ça arrive. La jeune journaliste, son fiancé, le médecin et l’anesthésiste ont été condamnés. Tous tbarek Allah. On se demande toujours comment le gardien de l’immeuble a fait pour échapper à cette justice implacable. Il est profondément inutile de s’attarder sur les délits supposés, sur l’absurdité de notre…