Renault, Peugeot, Bombardier, peut-être Boeing bientôt. Des multinationales qui font rêver et dont les noms seuls évoquent de la devise, de l’emploi, des formations, des débouchés, des rentrées d’impôts mirifiques. Il faut être d’une mauvaise foi crasse pour balayer d’un revers de main les bienfaits qu’apportent ces entreprises étrangères au pays. Elles installent le Maroc sur le radar du capital international, disséminent du savoir-faire, rassurent les bailleurs de fonds et dynamisent leurs écosystèmes respectifs. Bien que les taux d’intégration qu’elles promettent loupent souvent le coche et que l’Etat, affamé d’IDE,…