Sur les étagères des bibliothèques (numérisées), quelque part derrière les sacro-saints dépositaires de l’histoire et leur presse coloniale et colonialiste se cache un véritable fonds d’écrits édités dès le XIXe siècle par des penseurs, journalistes et artistes péjorativement appelés «indigènes», en Afrique, en Océanie ou en Asie, sans qu’ils aient le même retentissement. À contre-courant, Zahia Rahmani, responsable de la…
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