Alors que le Maroc croule sous 7 millions de tonnes de déchets par an, les cimentiers — visés il y a deux ans par une polémique infondée sur l'importation de déchets italiens — développent aux quatre coins du royaume plusieurs projets de valorisation des déchets ménagers pour produire du combustible alternatif.
De l’eau a coulé sous les ponts depuis l’affaire des «déchets italiens». La polémique avait conduit le gouvernement Benkirane à annoncer à la hâte l’interdiction d’importation de déchets combustibles (qui n’avait pas été mise en application), sous la pression des réseaux…
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