Extraits. Gad, le trac, la place Jamaâ El Fna…

Si vous pensez que notre Gad national a mis en jachère son humour casablancais, lisez donc l’interview parue dans les colonnes de nos confrères de L’Officiel Maroc. Barres de rire garanties.

A peine le dernier numéro de L’Officiel Hommes sorti dans les kiosques que Gad Elmaleh a mis en ligne la couv’ du magazine sur sa fanpage Facebook, drainant plus de 27 000 likes… Sympa la promo… Entre séance photo en selham sur papier glacé, blagues carabinées et confessions, l’humoriste raconte une de ses premières expériences sur les planches, datant de 1995, au théâtre Sidi Belyout de Casablanca, et son stress avant de monter sur scène : “Mon père et moi angoissions autant l’un que l’autre je crois”. Sur ces passages au Maroc, le serial blagueur casablancais explique son kiff à l’idée de se produire devant son public (“Bien sûr que c’est un bonheur de jouer au Maroc, ce sont des moments très forts, mais il faut savoir que ce sont les moments les plus dingues côté trac.”) et sa crainte de faire la vanne de trop. “Imagine que je fasse un bide ou que je bascule dans un truc dasser. Ma hantise dans mon métier d’humoriste est de devenir bassel. C’est mon pire cauchemar (rires)”. A choisir entre le Madison Square Garden de New York ou la halqa de Jamaâ El Fna pour donner un spectacle, l’humour répond : “La halqa, direct (…) c’est un rêve”. Enfin, à propos du personnage d’un de ses derniers films, Les seigneurs, on y apprend notamment que le nom Abdelhak Balabola, auteur du Livre de la jongle, est en fait “une dédicace subtile à Bola Hamra, le chant des supporters du Wydad”. Et le Raja alors ?

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