Selon Alyaoum24, le bureau des étudiants a indiqué que les conditions actuelles ne répondent pas aux normes minimales nécessaires pour une formation adéquate. Parmi les griefs figure le manque de renouvellement des équipements, notamment les fauteuils de traitement, malgré les promesses antérieures de l’administration. Les étudiants pointent du doigt les lourdeurs administratives à l’hôpital universitaire Ibn Rochd, ce qui entrave les mises à jour nécessaires.
En outre, les étudiants déplorent la charge financière que représente l’achat de l’équipement médical essentiel, qui devrait normalement être fourni par l’institution. Cette situation est jugée « frustrante » par les étudiants grévistes qui y voient une « répétition des défis déjà rencontrés par leurs prédécesseurs en médecine et en pharmacie, marqués par une perte de temps académique et une érosion de la confiance envers les structures de formation ».
Les étudiants exigent des actions concrètes pour améliorer les conditions de formation. Ils appellent à une stratégie claire pour le renouvellement des équipements et à une fourniture régulière et suffisante des ressources nécessaires. Ces mesures, selon eux, sont fondamentales pour aligner la qualité de l’enseignement sur les standards nationaux et internationaux en matière de soins dentaires et de formation médicale.
