Ces drêches, riches en nutriments, sont principalement utilisées dans l’alimentation animale pour accroître l’apport en protéines et en énergie, selon un communiqué conjoint des ministères brésiliens des Affaires étrangères et de l’Agriculture.
En 2023, le Maroc s’est classé quatrième parmi les principaux destinataires des exportations agricoles brésiliennes vers l’Afrique, avec des échanges totalisant 1,23 milliard de dollars. Cette même année, le commerce bilatéral entre les deux pays a atteint 2,65 milliards de dollars, rappelle le communiqué.
Parmi les principaux produits exportés par le Brésil vers le Maroc figurent le sucre, le blé, le poivre, l’huile de soja et la viande bovine. En revanche, les principales importations en provenance du Maroc concernent les engrais, selon les données du ministère du Développement, de l’Industrie, du Commerce extérieur et des Services. Fin août dernier, la valeur des exportations brésiliennes vers le Maroc s’est élevée à 755 millions de dollars, principalement grâce aux ventes de sucre et de blé, tandis que les importations, principalement d’engrais, ont totalisé 981 millions de dollars.
Cette nouvelle autorisation représente une avancée significative pour l’agro-industrie brésilienne, qui enregistre sa 106e ouverture de marché en 2024, portant à 184 le nombre total de nouveaux débouchés dans 58 pays depuis 2023, conclut le communiqué.
(avec MAP)