Rachid Hamouni, leader du groupe, a souligné l’urgence de la situation dans une correspondance au président de la commission de l’éducation. Les établissements d’enseignement privé ont en effet significativement augmenté les frais d’inscription et les charges mensuelles sous couvert de libre concurrence. De plus, ces écoles imposent l’achat de livres importés, aggravant la charge financière des parents.
Le groupe a également insisté sur la nécessité de réformer l’école publique pour garantir la qualité de l’éducation et l’égalité des chances. Ils ont appelé à des améliorations en termes de programmes et de curriculums conformément aux récentes lois, et à l’amélioration des conditions de travail des enseignants.
En conclusion, ils ont exigé des réformes immédiates pour assurer une éducation publique de qualité, défendre le futur éducatif des jeunes Marocains et protéger les familles contre l’exploitation financière du secteur privé.