Dans un communiqué, l’AMCUC a invité les acteurs internationaux et locaux détenteurs de licences à organiser et à développer les différentes étapes de cette activité, de la phase de production des semences jusqu’à celle de la commercialisation des produits, outre le soutien à la recherche en vue de promouvoir l’utilisation du cannabis dans les domaines médical, cosmétique et industriel.
L’Association a plaidé, de même, pour “une conversion progressive des activités agricoles illégales et nuisibles à l’environnement vers des activités légales, durables et créatrices de valeur et de postes d’emploi”.
L’AMCUC a, par ailleurs, renouvelé son engagement à contribuer au renforcement des concertations scientifiques, à l’organisation de conférences et de colloques et au lancement d’une série de formations en vue de contribuer au développement des filières d’utilisation médicale, pharmaceutique et industrielle du cannabis.
D’autre part, l’Association a exprimé son grand optimisme suite au lancement du processus d’octroi de licences, avec l’attribution de 10 licences pour l’exercice d’activités de transformation et de fabrication du cannabis, ainsi que la commercialisation et l’exportation du cannabis et de ses produits à des fins médicinales, pharmaceutiques et industrielles.
Elle a salué, en outre, les efforts déployés par le gouvernement et l’institution législative pour relever ce défi et inscrire le Maroc dans le club des pays innovateurs dans le domaine du cannabis médical.
(avec MAP)