Après la réémergence de la variole du singe dans plusieurs pays qui ne faisaient pas partie du foyer endémique de la maladie, la direction de l’épidémiologie et de lutte contre les maladies, affiliée au ministère de la Santé et de la Protection sociale, a mis en place un plan national de surveillance et de riposte. Ce dernier a permis de détecter un premier cas, atteint de variole du singe ou Monkeypox.
Le communiqué publié par le ministère de la Santé rassure quant à l’état du patient qui est qualifié de “stable” et indique “qu’il ne faut pas s’inquiéter”, rappelant qu’il a immédiatement été placé sous surveillance sanitaire, après réception des résultats de ses analyses, conformément au protocole de riposte mis en place pour lutter contre cette maladie.
La même source indique que les enquêtes épidémiologiques ont répertorié la liste de tous les contacts de la personne infectée, afin de les surveiller et de prendre des mesures préventives pour empêcher la propagation du virus, conformément aux normes de sécurité sanitaire nationales et internationales, car elles n’ont montré aucun symptôme jusqu’à l’heure.
Enfin, le communiqué indique que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les responsables des listes sanitaires internationales du pays d’origine ont été informés des résultats des analyses.