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« Salam Alaykoum Morocco », entonne d’emblée le jeune DJ, quelques minutes après une première partie assurée par son acolyte Justin Mylo, enchainant directement avec les premières notes de Forever, un morceau en collaboration avec le duo Matisse et Sadk. Crédit : Rachid Tniouni

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Les platines du DJ Martin Garrix ont fait vibrer la foule à Rabat le 22 juin. Crédit : Rachid Tniouni

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Avec une performance assurée à grand renfort de lasers et projecteurs, le show était néanmoins visuel, le public pouvant facilement apercevoir le Néerlandais, contrairement au show du défunt Avicci qui s’était produit, en 2015, sur la même scène. Crédit : Rachid Tniouni

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Le public de la scène OLM Souissi, en 2018.

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Si le décès du DJ suédois remonte au mois d’avril dernier, Martin Garrix est toujours en deuil et l’a fait savoir en entonnant le tube Waiting for love, gros succès du second album d’Avicii, « Stories » sorti en 2015. Un hommage à un des plus célèbres DJs de la scène électro de ces dernières années. Crédit : Rachid Tniouni

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C’est un habitué du Festival Mawazine qui a ouvert le bal dans l’espace Nahda, réservé à la chanson orientale. Le «César » de la chanson arabe, Kadim Al Sahir a ressuscité les poèmes de Nizar Kabbani devant une assistance déchaînée et habituée à ses concerts. Crédit : Rachid Tniouni

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Si une foule considérable fredonnait les célèbres morceaux du "César", elle n'est pas aussi importante que les années précédentes selon une habituée des concerts de Kadim Al Sahir. "C'est peut-être dû à l'artiste. Pourtant,, Kadim parvient toujours à galvaniser les foules", témoigne une étudiante. Crédit : Rachid Tniouni.

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Énergétique et époustouflant, le concert d'Ara Malikion au Théâtre Mohamed V a tenu toutes ses promesses, confirmant le talent cosmopolite de la légende du violon. Crédit : Rachid Tniouni.

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Folklore marocain et tubes internationaux, des rythmes que s’accapare la troupe Cravata dirigée par Salim Benani pour les transformer en une bande-son festive. Fidèles à eux même. Crédit : Rachid Tniouni.

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Le Justin Bieber marocain, Ihab Amir, a provoqué l’hystérie auprès de ses fans, notamment au sein de la gent féminine très présente ce 22 juin à Salé.

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Une assistance moins importante que d'habitude. Un constat partagé par les quelques personnes que nous avons croisées sur place. De là à parler d'un boycott ? Aucune d'elles ne le confirme. Crédit : Rachid Tniouni.

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Pourtant, une foule considérable a assisté aux concerts de Cravata, Reem et Ihab Amir. Crédit : Rachid Tniouni.