Le 28 mars 1996, Hassan II adresse un message à la nation, annonçant que le sacrifice de l’Aïd ne serait pas…
“Au Maroc, gouverner, c’est pleuvoir”, disait Lyautey, le premier Résident général. Et à en juger par les années 1994-1995, cette maxime n’a jamais paru aussi vraie. Le royaume avait apuré en partie, tant bien que mal, ses comptes en appliquant la recette drastique du FMI. Et patatrac ! Une sécheresse met à nu les tares économiques du Maroc qui “risque la crise cardiaque”, selon la formule de Hassan II.
Le 28 mars 1996, Hassan II adresse un message à la nation, annonçant que le sacrifice de l’Aïd ne serait pas…