Mohamed Taher Sraïri : “Entre l’éleveur et le consommateur final, un mouton peut être vendu six à sept fois”

DR

Smyet bak ?

Abdallah, paix à son âme.

Smyet mok ?

Leïla.

Nimirou d’la carte ?

As de trèfle.

En prévision de l’Aïd El Kébir, le Maroc importe des moutons pour la première fois de son histoire. Elle vient de vous, les agronomes, cette alternative au mouton local, malmené par la sécheresse ?

C’est une idée imposée par un marché dont il faut garantir l’approvisionnement. C’est un classique : on va chercher ailleurs ce qu’on ne produit pas suffisamment, si on en…

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