Hantise des Marocains, le stress hydrique n’est plus un phénomène conjoncturel mais une réalité structurelle, qui alarme les experts. Les dernières pluies n’y ont rien changé, d’où la nécessité de repenser notre rapport à l’eau, son usage et sa gouvernance.
Le Maroc est l’un des pays les plus pauvres en eau au monde et se rapproche rapidement du seuil de pénurie absolue fixé à 500 m3 par personne et par an. L’incidence et la gravité croissante des sécheresses constituent déjà une source majeure de volatilité macroéconomique et une menace pour…
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