Stress hydrique : le Maroc toujours assoiffé

Hantise des Marocains, le stress hydrique n’est plus un phénomène conjoncturel mais une réalité structurelle, qui alarme les experts. Les dernières pluies n’y ont rien changé, d’où la nécessité de repenser notre rapport à l’eau, son usage et sa gouvernance.

Par

Un enfant accroupi sur la terre craquelée du barrage d'Al Massira, dans le village d'Ouled Essi Masseoud, à environ 140 kilomètres (85 miles) au sud de Casablanca, le 8 août 2022. Crédit: FADEL SENNA / AFP

Le Maroc est l’un des pays les plus pauvres en eau au monde et se rapproche rapidement du seuil de pénurie absolue fixé à 500 m3 par personne et par an. L’incidence et la gravité croissante des sécheresses constituent déjà une source majeure de volatilité macroéconomique et une menace pour…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter